La vérité dans tout cela
Jeudi 11 mars 2010, par , // La danseuse de vélo
Lucie est danseuse... Une amatrice...
Lucie deviendra danseuse. Elle deviendra danseuse amateur. À côté de son véritable travail, donc. Mais nous verrons cela plus tard. Pour l’instant, elle vient de naître. En Corrèze. Et cela, me semble-t-il, est très important. Cela dit, pour comprendre cela, il faut un peu connaître la Corrèze, justement. C’est ce que racontera donc, entre autres, l’histoire de Lucie : une façon de raconter l’histoire de la Corrèze.
On n’y prête pas bien attention d’abord, en effet ; cela ne semble pas essentiel, au début. Je veux dire, on peut facilement croire que la Corrèze n’est qu’un département français parmi les autres. De fait, s’il n’y avait pas eu l’histoire de Lucie, si elle n’avait pas existée, si elle n’y était pas née, moi aussi, finalement, j’aurais tout aussi bien pu me contenter de penser cela. Seulement voilà, plus jamais je ne pourrai appréhender la Corrèze comme un simple département parmi les autres, à présent. Non, plus jamais...
Je blaguais, l’autre fois. Lucie n’est pas née à Corrèze même ; vous vous souvenez : la ville de Corrèze, l’éponyme de son département. C’était pour m’amuser, j’avoue, que je vous avais dit cela. Je voulais juste me détendre un peu. J’en ai parfois besoin, vous savez. C’est un peu normal, non, ne croyez-vous pas, lorsqu’il s’agit de raconter l’histoire de Lucie ; l’on peut comprendre cela, n’est-ce pas, que l’on éprouve à certains moments le besoin de se détendre...
Or, comme cela m’amusait qu’il y eût en Corrèze une ville qui portât le même nom, alors je me suis un peu laissé aller à m’amuser. Mais Lucie n’est pas née dans cette ville. Non, Lucie, elle, est née dans un petit village tout à fait ; un tout petit village de Corrèze.
Et pourtant, en 1941, il y avait malgré tout encore un peu plus de monde qu’aujourd’hui, à Meyrignac-l’Église...
Lucie deviendra danseuse. Elle deviendra danseuse amateur. À côté de son véritable travail, donc. Mais nous verrons cela plus tard. Pour l’instant, elle vient de naître. En Corrèze. Et cela, me semble-t-il, est très important. Cela dit, pour comprendre cela, il faut un peu connaître la Corrèze, justement. C’est ce que racontera donc, entre autres, l’histoire de Lucie : une façon de raconter l’histoire de la Corrèze.
On n’y prête pas bien attention d’abord, en effet ; cela ne semble pas essentiel, au début. Je veux dire, on peut facilement croire que la Corrèze n’est qu’un département français parmi les autres. De fait, s’il n’y avait pas eu l’histoire de Lucie, si elle n’avait pas existée, si elle n’y était pas née, moi aussi, finalement, j’aurais tout aussi bien pu me contenter de penser cela. Seulement voilà, plus jamais je ne pourrai appréhender la Corrèze comme un simple département parmi les autres, à présent. Non, plus jamais...
Je blaguais, l’autre fois. Lucie n’est pas née à Corrèze même ; vous vous souvenez : la ville de Corrèze, l’éponyme de son département. C’était pour m’amuser, j’avoue, que je vous avais dit cela. Je voulais juste me détendre un peu. J’en ai parfois besoin, vous savez. C’est un peu normal, non, ne croyez-vous pas, lorsqu’il s’agit de raconter l’histoire de Lucie ; l’on peut comprendre cela, n’est-ce pas, que l’on éprouve à certains moments le besoin de se détendre...
Or, comme cela m’amusait qu’il y eût en Corrèze une ville qui portât le même nom, alors je me suis un peu laissé aller à m’amuser. Mais Lucie n’est pas née dans cette ville. Non, Lucie, elle, est née dans un petit village tout à fait ; un tout petit village de Corrèze.
Et pourtant, en 1941, il y avait malgré tout encore un peu plus de monde qu’aujourd’hui, à Meyrignac-l’Église...